La Danse est un poème, une poésie muette, elle est l’âme des mots.
Cet art sublime n’est pas une abstraction de la vie, c’est la Vie elle-même. Elle interroge, pendant que la musique, elle, joue à faire danser les consciences. La Danse fait vivre le mouvement, le flamenco, lui, le fait exister. La Danse retire les obstacles, comble notre aveuglement premier. La Danse envahit la vie, les corps, pour ne pas qu’ils se perdent, pour ne pas qu’on les perde. La Danse s’empare des corps.